En défendant des idées progressistes pour les années 1930 – notamment en faveur du coopératisme – et en fondant la Faculté des sciences sociales de l’Université Laval, ce prêtre dominicain a jeté, bien malgré lui, les bases de la Révolution tranquille. L’auteur Jules Racine St-Jacques raconte à Jacques Beauchamp comment Georges-Henri Lévesque a formé des économistes, des sociologues et des démographes à connaître les faits afin de pouvoir agir selon la morale chrétienne.