Elle a incarné la grâce et le magnétisme d’Hollywood auprès des plus grands réalisateurs de son temps, notamment dans l’inoubliable Casablanca. À force de détermination, elle s’est fait une place entre les femmes fatales à la Rita Hayworth et les figures radieuses comme Ginger Rogers. Michel Coulombe, chroniqueur cinéma, raconte à Jacques Beauchamp qu’Ingrid Bergman n’hésitait pas à laisser ses proches derrière pour répondre à l’appel du cinéma.