Son imposante stature, son tempérament sympathique et ses talents sur le ring ont nourri le deuxième âge d’or de la lutte professionnelle au Québec, aux États-Unis comme ailleurs. Au prix de sa vie, il a refusé les traitements et choisi de tirer profit de la maladie à l’origine de sa carrure. Patrick Laprade, animateur et auteur, raconte à Jacques Beauchamp que le géant Ferré était une attraction qui a attiré les foules durant les années 1970 et 1980.