Le 3 avril 2020, à la faveur du confinement coronavirien, David Meulemans (Aux forges de Vulcain) appelle Michèle Astrud (romancière). Ils s'entretiennent des lectures de Michèle, jetant un peu de lumière sur son esthétique unique : on découvre alors la communicative passion de Michèle pour la littérature japonaise contemporaine.

Sont cités :
YOSHIMURA, Akira. Naufrages (破船) (1982), roman traduit par Rose-Marie Makino-Fayolle, Actes Sud (collection "Lettres japonaises"), 1999 ; Actes Sud (collection "Babel"), 2004.
WU, Ming-Yi. L’Homme aux yeux à facettes(《複眼人》,夏日,2011), trad. par G. Gaffric, Stock, 2014
KEYES, Daniel, Des fleurs pour Algernon (1966).
COLLETTE, Sandrine Et toujours les forêts. Lattès, 2020.
OGAWA, Yôko. La Piscine (ダイヴィング・プール Daivingu puru, 1990; Actes Sud 1995. Traduction par Rose-Marie Makino-Fayolle)
OGAWA, Yôko. La Grossesse (妊娠カレンダー Ninshin karendā, 1991, Prix Akutagawa3 1990; Actes Sud 1997. Traduction par Rose-Marie Makino-Fayolle)
MATSUURA, Rieko. 1993 : Pénis d'orteil (親指Pの修業時代), roman traduit par Jean-Armand Campignon, Editions Philippe Picquier, 2000 ; Picquier poche, 2002.
KIRINO, Natsuo. 1999 : Disparitions (柔らかな頬, Yawarakana hoho?), roman traduit du japonais par Silvain Chupain, Editions du Rocher, 2002 ; 10/18, 2004 ; Points, 2013.
TSUSHIMA, Yuko. 1991 : Vous, rêves nombreux, toi, la lumière ! (大いなる夢よ、光よ), roman traduit par Karine Chesneau, Editions Philippe Picquier, 1998 ; Picquier poche, 2001.