L'origine des rayons cosmiques les plus énergétiques, ainsi que des rayons gamma et des neutrinos ultra-énergétiques reste aujourd'hui mal cernée. Mais une astrophysicienne chinoise et son collègue japonais, tous deux en postdoc aux Etats-Unis, viennent de trouver un modèle global qui relie ces trois types de particules extrêmes avec les trous noirs supermassifs de noyaux actifs de galaxies situés au centre d'amas denses.