Un « bâtisseur » qui a aussi commis des « fautes ». Le 5 mai à Paris, Emmanuel Macron brosse un portrait contrasté de Napoléon Ier. Deux cent-ans après sa mort, l'héritage de l’ancien Empereur divise toujours autant le paysage politique français. Pour la droite, Napoléon Bonaparte, en plus de son génie militaire, nous a légué le Code civil, les préfets et les lycées. À gauche, on refuse que des honneurs soient rendus à ce “traître” de la Révolution, un homme misogyne qui a de plus rétablit l’esclavage. Fallait-il commémorer le bicentenaire de sa mort, comme l’a souhaité le président de la République ce jour-là ? Charles de Saint-Sauveur, de la cellule récit du Parisien, revient sur cette controverse dans Code source. 

Crédits. Direction de la rédaction : Pierre Chausse - Rédacteur en chef : Jules Lavie - Reporter : Clawdia Prolongeau - Production : Marion Bothorel et Thibault Lambert - Réalisation et mixage : David Federmann - Musiques : François Clos, Audio Network - Identité graphique : Upian - Archives : INA, RTL, France 5, AFP.





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