Le maître du suspense, Alfred Hitchcock, a marqué l'histoire du cinéma par son sens de l’effet dramatique, du découpage et son fameux « MacGuffin ».

Mais sa marque de fabrique, ce sont aussi les « blondes hitchcockiennes », celles qu'il aimait surnommer ses « meilleures victimes ». Un goût immodéré pour des actrices blondes et sophistiquées. Comme il l'expliquera à François Truffaut, au-delà de l'intrigue policière, le vrai sujet de ses films était la femme dans toute sa blondeur et sa noirceur ... un rapport bien ambivalent, entre héroïne et fantasme.


Les blondes et leurs films évoqués dans cette chronique : 

Joan Fontaine – Rebecca (1940), Soupçons (1941)

Tippi Hedren – Les oiseaux (1963), Pas de printemps pour Marnie (1964)

Grace Kelly – Le crime était presque parfait (1954),  La main au collet (1955), Fenêtre sur cour (1954)

Ingrid Bergman – La Maison du docteur Edwardes (1945), Les enchaînés (1946), Les amants du capricorne (1949)

Vera Miles – Le faux coupable (1956)

Kim Novak – Sueurs froides (1958)

Eva Marie Saint – La mort aux trousses (1959)

Janet Leigh – Psychose (1960)


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Crédits :

Extrait générique de l'émission "Monsieur Cinéma" (composé par Gérard Calvi) / Extrait film "Les Bronzés font du ski"

Et pour cette chronique quelques extraits sonores de « Sueurs froides » (thème principal de Bernard Hermann – scène de la tour), « Les oiseaux » (scène de l’attaque de l’école), « Les enchaînés » (scène du baiser), « La mort aux trousses (scène du wagon couchette), « Psychose » (scène de la douche) 


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