Bienvenu.e.s dans le Beau Bizarre !
Avant de monter dans un train en direction de Bruxelles, oui Bruxelles de nouveau, Bruxelles et son phare dans la ville le KunestenFestivalDesArts, je termine tout juste ce dixième épisode du Beau Bizarre. L'occasion de retrouver Daniel Blanga Gubbay, l'un des deux directeurs artistiques du festival, pour revenir sur la dimension international du festival : Quel est l'apport et la nécessité de garder une présence de projets internationaux au festival aujourd'hui ? Comment réfléchir la circulation des projets et des artistes internationaux dans un contexte de pandémie ? Comment certains projets ont dû se réinventer pour exister cette année ? Comme par exemple, le projet Outrar de la chorégraphe brésilienne, Lia Rodrigues. Outrar, dérivé du substantif "outro", "autre" en portugais qui pourrait se traduire par "se faire autre". Un néologisme que Fernando Pessoa, maitre des alter-égo fictifs, a conçu pour évoquer un état d'ouverture. Et c'est dans cet état de disponibilité et d'ouverture dans lequel le danseur et chorégraphe, Volmir Cordeiro, s'est mis pour participer à la création à distance de Outrar. J'ai eu envie de le rencontrer pour qu'il me raconte son expérience de ce processus particulier de création. Et c'était l'occasion de me plonger dans son œuvre et de la discuter avec lui!

Notez que le solo de Volmir Cordeiro, dans Outrar est visible les samedis 3 & 10 juillet au centre chorégraphique La Briqueterie : https://www.alabriqueterie.com/fr/
Pour connaitre les dates des tournées des autres projets de Volmir Cordeiro, c’est par ici son site : http://volmircordeiro.com/

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