S’il existe des vestiges, il existe des promesses silencieuses, des secrets dévoilés et des feux dont nous sommes les héritiers, à la fois les receleurs et les destinataires. De quels gestes et de quels feux sommes-nous les héritiers ? Ainsi commence le court texte qui présente le solo de danse Vestiges, de et par Benjamin Bertrand. Présenté début décembre à la ménagerie de verre dans le cadre du festival, les inaccoutumés. Un lieu fondé par Marie Thérèse Allier dans les années 80 et qui fut mythique et incontournable pour la création contemporaine indépendante. Et c’est à la Ménagerie de verre que j'ai retrouvé Benjamin Bertrand, un soir où il ne s’y jouait pas de spectacle, un soir où des travailleurs de l’invisible furent visibles pour nous et nous avons cohabiter avec eux et leur geste sonore, pour tourner autour de la question originelle : De quels gestes et de quels feux sommes-nous les héritiers ?

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