Matteo Renzi a perdu lors des municipales partielles à Rome et Turin. Alors qu'il y a un an, le président du Conseil italien et le Premier ministre français voulaient reformer la vieille Europe, le résultat n'était pas satisfaisant. En Italie, malgré la baisse du taux de chômage, l'économie est toujours en panne. Ce qui explique la déception des électeurs italiens envers le président du conseil italien. D'après Hervé Gattegno, Matteo Renzi n'est plus un modèle pour le PS mais plutôt un avertissement. La gauche devrait tirer une leçon de cette défaite. - Tous les jours à 8h20, Hervé Gattegno, rédacteur en chef au Point, décortique un fait politique, dans Bourdin Direct, sur RMC.