Tous les jours pendant le confinement destiné à limiter la propagation du coronavirus, le journaliste et auteur normand Philippe Bertin partage son "journal d'un confiné". Le jour 44, le souvenir du muguet des 1er mai d'avant fait flotter un parfum de nostalgie. Les brins de muguet vendus au coin de la rue par des gamins aux sourires larges vont manquer au premier jour du joli mois de mai. Mais le COVID-19 n'a pas le pouvoir de faire disparaître le parfum des fleurs et ses promesses.Podcast by Tendance Ouest