Marion a 32 ans, elle s’est reconvertie dans la photographie et la vidéo après avoir fait de la recherche sur les politiques qui luttent contre le réchauffement climatique. De par son parcours, Marion allie une forte sensibilité à l’écologie au sens large du terme et de par son métier apporte une sensibilité qui permet de parler de demain en se posant des questions de fond. Avec Marion, nous avons parlé de l’importance du vivre ensemble à une échelle locale, de l’importance d’avoir le « luxe du temps » mais aussi d’arrêter d’opposer le savoir être au savoir faire et combiner les deux pour être des personnes plus épanouies demain. Je vous souhaite à toutes et à tous une excellente écoute.
Pour aller plus loin, voici quelques informations en plus pour mieux comprendre les sujets auxquels Marion fait référence :

  • Le peuple Kogi : Il s’agit d’un peuple amérindien de Colombie. En 2013, on recense 20 000 Kogis en Colombie. Ils sont surtout agriculteurs et possèdent quelques animaux, principalement des porcs et des vaches. Ils vivent en totale autarcie intellectuelle et économique. Subissant les différentes guérillas en Colombie et après le désarmement de mars 2018, le peuple kogi continue d'être victime d'agressions de paramilitaires Source : wikipedia
  • Ice Breaker :
  • Effondrement de Jared Diamond : écrit en 2006,  ce livre reste un rappel très détaillé sur la disparition de civilisations, de sociétés, d’hommes et de femmes qui les composaient, en un laps de temps, une étincelle à l’échelle de l’histoire. https://bit.ly/EffondrementLesPiedsDansDemain
  • Ice breaker : Un Icebreaker peut se définir comme étant une activité assez courte (entre quelques minutes et quelques heures) qui prend généralement la forme d’un jeu, utilisé pour initier le dialogue entre plusieurs participants pour mieux se connaître. l’icebreaker permet en effet de “briser la glace” qui sépare généralement les gens qui ne se connaissent pas ou peu.
  • Bottom-up : On parle d’une démarche « bottom-up » lorsque l’on prend des données élémentaires pour remonter ensuite vers des formes d’organisation plus globales. C’est un mouvement du bas vers le haut, une méthode dite ascendante. Elle s’oppose directement à la méthode dite du « top-down » où l’on part d’un système global afin de le décomposer en ses éléments constituants. C’est un mouvement du haut vers le bas. Source : soft-concept.com

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