Davis, un primatologue et ancien soldat joué par Dwayne “The Rock” Johnson, travaille dans une réserve de San Diego avec un adorable gorille albinos prénommé Georges, qui sous l’effet d’un agent mutagène se transforme en bête déchaînée et destructrice. Avec deux autres animaux touchés, un loup et un crocodile, il se dirigent vers Chicago quand l’entreprise à l’origine du mutagène essaie de les récupérer. Evidemment, Dwayne va sauver l’humanité du désastre. Pas de mensonge sur le produit, “Rampage” est une vraie connerie réjouissante style série B, un film bête fait avec sérieux application et passion, qui ne se croit jamais plus intelligent que ses spectateurs. The Rock en pilote automatique n’est pas surprenant, et continue de voler des hélicoptères pour le plus grand bonheur de Daniel Andreyev. Très librement adapté du jeu vidéo éponyme des années 80, quelques discrètes références au jeu se glissent dans le film. Un défaut ? Peut-être celui de ne pas avoir été réalisé par Michael Bay. Attention, si vous tenez à voir ce film, on spoile. Podcast animé par Thomas Rozec avec Perrine Quennesson, Stéphane Moïssakis et Daniel AndreyevRÉFÉRENCES CITÉES DANS L’ÉMISSIONRampage (Brad Peyton, 2018), Dwayne The Rock Johnson, San Andreas (Brad Peyton, 2015), Voyage au centre de la Terre 2 (Brad Peyton, 2012), Naomie Harris, Jeffrey Dean Morgan, Malin Akerman, Mon ami Joe (Ron Underwood, 1998), 2012 (Roland Emmerich, 2009), Jumanji : Bienvenue dans la jungle (Jake Kasdan, 2017), Michael Bay, Jurassic World (Colin Trevorrow, 2015), Battleship (Peter Berg, 2012), Greystoke la légende de Tarzan (Hugh Hudson, 1984), Tchao Pantin (Claude Berri, 1983), Pain & Gain (Michael Bay, 2013), Un fauteuil pour deux (John Landis, 1983), Schlock (John Landis, 1973), Congo (Frank Marshall, 1994), Jurassic Park (Steven Spielberg, 1993), La liste de Schindler (Steven Spielberg, 1993), Doux dur et dingue (James Fargo, 1978), Sin Godzilla (Hideaki Anno, 2016), Le Projet Nim (James March, 2012). RECOMMANDATIONS ET COUPS DE COEURLA RECO DE STÉPHANE MOÏSSAKIS : mieux que les films de singe, les films où les hommes sont déguisés en singe, comme John Landis dans son film Schlock (1973). Et puis Congo de Frank Marshall (1994), et forcément, “Doux dur et dingue” de James Fargo avec Clint Eastwood (1978). LA RECO DE DANIEL ANDREYEV : “Sin Godzilla” par Hideaki Anno (2016), grand film de destruction de ville. Et côté jeux vidéos, “King of Monsters”.LA RECO DE PERRINE QUENNESSON : “Le Projet Nim”, documentaire de James March (2012).CRÉDITSEnregistré le 26 avril 2018 à l’Antenne (Paris 11eme). Production : Binge Audio. Direction de production : Joël Ronez. Rédacteur en chef : David Carzon. Direction générale : Gabrielle Boeri-Charles. Moyens techniques : Binge Audio. Réalisation : Quentin Bresson. Chargée de production et d’édition : Camille Regache. Générique : "Soupir Articulé", Abstrackt Keal Agram (Tanguy Destable et Lionel Pierres). NoCiné est une production du réseau Binge Audio www.binge.audio.
 


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