Il reste encore beaucoup à faire pour assurer le succès de la Mission multinationale de soutien à la sécurité qui a été déployée en Haïti pour aider la police nationale à lutter contre le niveau de violence extrême et chronique qui règne dans la capitale Port-au-Prince et ses alentours.C’est ce qu’a affirmé Bob Rae, le Représentant permanent du Canada auprès des Nations Unies et Président du Conseil économique et social des Nations Unies (ECOSOC) et de son groupe consultatif sur ce pays des Caraïbes, de retour d’une visite de terrain dans le pays.La Mission, qui n'est pas une opération de maintien de la paix des Nations Unies et qui est conduite par le Kenya, a enregistré quelques progrès importants, dont le déplacement de la zone d'opération de certains gangs dans la capitale, loin de deux hôpitaux clés et du port principal.« Les choses vont mieux mais pas suffisamment », a souligné Bob Rae au micro de Cristina Silveiro d’ONU Info, précisant que la Mission de soutien a besoin de davantage d’appui en équipements et en personnel de tous les pays de la région et ailleurs.Les Haïtiens recherchent « la sécurité et le retour de l’espoir … ils n’ont pas confiance qu’ils seront là demain », fait valoir M. Rae, affirmant que malgré les progrès enregistrés il n’est pas possible d’affirmer que le pays a franchi un cap.(Entretien : Bob Rae, le Représentant permanent du Canada auprès des Nations Unies et Président du Conseil économique et social des Nations Unies (ECOSOC) et de son groupe consultatif sur ce pays des Caraïbes ; propos recueillis par Cristina Silveiro)
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Publié le par ONU Info
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In Situ
Invitez-vous dans le monde feutré du droit. Suivez avec nous les évènements organisés par les juristes tout au long de l’année. Les reportages In Situ proposent d’ouvrir une sélection de rencontres à un plus large public et de relayer les débats qui s’y construisent afin que chacun, même sans être sur la liste, puisse faire partie de la fête !
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La Justice Ă l'oeil
La Justice à l'oeil, le droit saisi par le cinéma. Depuis nombre d’années, les citoyens sont intéressés par la justice, les institutions et leur fonctionnement. Ayant accès à diverses sources écrites et audiovisuelles, leurs interrogations et réflexions s’en trouvent accrues. En la matière, les films de fiction et documentaires constituent une ressource propre à rendre compréhensibles des questions théoriques et à permettre aux justiciables, citoyens administrés ou aux étudiants et de participer aux débats en cours. Au cours de cette émission, nous envisagerons les représentations des questions judiciaires, juridiques et politiques via des extraits de films de toutes époques et cinématographies avec des invités issus des professions juridiques, des spécialistes du cinéma et des universitaires travaillant dans une perspective Droit et cinéma". Une émission créée par Barbara Villez, animée par Magalie Flores-Lonjou et produite par Amicus radio.
La Justice à l'oeil, le droit saisi par le cinéma.
Depuis nombre d’années, les citoyens sont intéressés par la justice, les institutions et leur fonctionnement. Ayant accès à diverses sources écrites et audiovisuelles, leurs interrogations et réflexions s’en trouvent accrues.
En la matière, les films de fiction et documentaires constituent une ressource propre à rendre compréhensibles des questions théoriques et à permettre aux justiciables, citoyens administrés ou aux étudiants et de participer aux débats en cours.
Au cours de cette émission, nous envisagerons les représentations des questions judiciaires, juridiques et politiques via des extraits de films de toutes époques et cinématographies avec des invités issus des professions juridiques, des spécialistes du cinéma et des universitaires travaillant dans une perspective Droit et cinéma".
Une émission créée par Barbara Villez, animée par Magalie Flores-Lonjou et produite par Amicus radio.
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Podcasts – Free Trans Radio
100% LGBT Pro-Liberté
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L'Echo des codes
Selon la phrase de Pierre Hébraud, “l’histoire n’est pas une cause accidentelle ou une explication ; elle est le signe et le témoin des facteurs permanents”. Tel est le programme que se propose de réaliser L’écho des codes. Car l’histoire du droit est une matière vivante qui anime chaque institution, chaque article de loi, chaque décision de justice et qui irrigue les moeurs d’une société. Elle n’est pas explication du présent pas plus qu’elle n’est description du passé. Elle n’est pas folklore et elle n’est pas musée. Elle est la source et le relais des éléments de composition de toute contemporanéité qui résonnent à travers elle en échos successifs jusqu’à nous. L’écho des codes est un temps de culture juridique et judiciaire à travers l’éclairage de l’actualité par le regard de juristes historiens. Initiée par Boris Bernabé, la série est aujourd'hui animé par Valérie Ménès-Redorat et Pierre-Vincent Letourneau. Une production Amicus radio.
Selon la phrase de Pierre Hébraud, “l’histoire n’est pas une cause accidentelle ou une explication ; elle est le signe et le témoin des facteurs permanents”. Tel est le programme que se propose de réaliser L’écho des codes. Car l’histoire du droit est une matière vivante qui anime chaque institution, chaque article de loi, chaque décision de justice et qui irrigue les moeurs d’une société. Elle n’est pas explication du présent pas plus qu’elle n’est description du passé. Elle n’est pas folklore et elle n’est pas musée. Elle est la source et le relais des éléments de composition de toute contemporanéité qui résonnent à travers elle en échos successifs jusqu’à nous. L’écho des codes est un temps de culture juridique et judiciaire à travers l’éclairage de l’actualité par le regard de juristes historiens.
Initiée par Boris Bernabé, la série est aujourd'hui animée par Valérie Ménès-Redorat et Pierre-Vincent Letourneau. Une production Amicus radio.
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Les Documentaires
Pour être bien comprise et largement partagée, la vie du droit nécessite d’être documentée. Et bien documenter ce fait en allant chercher les thèmes là où ils prennent leur source et se nourrissent, pas seulement chez les juristes et au-delà des livres : dans tous les aspects de notre quotidien, les petits ou grands événements de notre histoire, les arguments échangés lors des controverses, près de chez nous comme à l’autre bout du monde, à l’écran ou lors d’une rencontre. Les rendez-vous documentaires poursuivent une vocation aussi informative que ludique, en rassemblant entretiens, extraits d’archives, de reportages, mises en perspectives et commentaires sur un thème ou une question choisie par un expert.
Pour être bien comprise et largement partagée, la vie du droit nécessite d’être documentée. Et bien documenter ce fait en allant chercher les thèmes là où ils prennent leur source et se nourrissent, pas seulement chez les juristes et au-delà des livres : dans tous les aspects de notre quotidien, les petits ou grands événements de notre histoire, les arguments échangés lors des controverses, près de chez nous comme à l’autre bout du monde, à l’écran ou lors d’une rencontre. Les rendez-vous documentaires poursuivent une vocation aussi informative que ludique, en rassemblant entretiens, extraits d’archives, de reportages, mises en perspectives et commentaires sur un thème ou une question choisie par un expert.
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Les Temps Ă©lectriques
Les temps électriques, ce sont ceux décrits par l’auteur de science-fiction Philip K. Dick, dans le roman “Les androïdes rêvent-ils de moutons électriques ?”, des temps où l’humanité y est interrogée en miroir de robots plus intelligents que leurs concepteurs. Notre présent tisse déjà ce futur, en introduisant dans notre quotidien l’intelligence artificielle, le calcul de risque, les probabilités, la prévision voire la prédiction dans tous les champs de l’activité humaine.Dans le contexte particulier de la justice, ces outils bouleversent déjà notre conception des moyens permettant la résolution de litiges entre individus : les “Legaltech”, start-ups spécialisées mêlant juridique et numérique, proposent une offre de plus en plus foisonnante tant à destination des professionnels que des particuliers, offre qui sera peut-être susceptible de substituer un jour au juge, au procureur, à l’avocat ou au greffier… et à l’humain d’une manière générale. “Les temps électriques” sont donc l’occasion de s’interroger, un instant, sur l’avenir de la justice que nous nous préparons. En vulgarisant tout d’abord les termes des débats actuels, en mettant en présence les différents acteurs et – surtout – en donnant la parole à ceux qui devront faire vivre la justice de demain et trouver la bonne mesure des outils de leur temps. Une émission de Yannick Meneceur et Sophie Sontag-Koenig, produite par Amicus radio.
Les temps électriques, ce sont ceux décrits par l’auteur de science-fiction Philip K. Dick, dans le roman “Les androïdes rêvent-ils de moutons électriques ?”, des temps où l’humanité y est interrogée en miroir de robots plus intelligents que leurs concepteurs. Notre présent tisse déjà ce futur, en introduisant dans notre quotidien l’intelligence artificielle, le calcul de risque, les probabilités, la prévision voire la prédiction dans tous les champs de l’activité humaine.
Dans le contexte particulier de la justice, ces outils bouleversent déjà notre conception des moyens permettant la résolution de litiges entre individus : les “Legaltech”, start-ups spécialisées mêlant juridique et numérique, proposent une offre de plus en plus foisonnante tant à destination des professionnels que des particuliers, offre qui sera peut-être susceptible de substituer un jour au juge, au procureur, à l’avocat ou au greffier… et à l’humain d’une manière générale. “Les temps électriques” sont donc l’occasion de s’interroger, un instant, sur l’avenir de la justice que nous nous préparons. En vulgarisant tout d’abord les termes des débats actuels, en mettant en présence les différents acteurs et – surtout – en donnant la parole à ceux qui devront faire vivre la justice de demain et trouver la bonne mesure des outils de leur temps.
Une Ă©mission de Yannick Meneceur et Sophie Sontag-Koenig, produite par Amicus radio.
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