CITATIONS
Toutes les grandes personnes ont d’abord été des enfants, mais peu d’entre elles s’en souviennent. (Dédicace)
S’il vous plaît… dessine-moi un mouton ! (Chap. II)
Quand le mystère est trop impressionnant, on n’ose pas désobéir. (Chap. II)
Droit devant soi on ne peut pas aller bien loin… (Chap. III)
Les enfants doivent être très indulgents envers les grandes personnes. (Chap. IV)
C’est tellement mystérieux, le pays des larmes. (Chap. VII)
Il est bien plus difficile de se juger soi-même que de juger autrui. (Chap. X)
J’ai le droit d’exiger l’obéissance parce que mes ordres sont raisonnables. (Chap. X)
Il faut exiger de chacun ce que chacun peut donner. (Chap. X)
Quand on veut faire de l’esprit, il arrive qu’on mente un peu. (Chap. XVII)
Qu’est-ce-qui signifie « apprivoiser » ? (Chap. XXI)
Tu n’es encore pour moi qu’un petit garçon tout semblable à cent mille petits garçons. Et je n’ai pas besoin de toi. Et tu n’as pas besoin de moi non plus. Je ne suis pour toi qu’un renard semblable à cent mille renards. Mais, si tu m’apprivoises, nous aurons besoin l’un de l’autre. Tu seras pour moi unique au monde. Je serai pour toi unique au monde… (Chap. XXI)
On ne connaît que les choses que l’on apprivoise. (Chap. XXI)
Le langage est source de malentendus. (Chap. XXI)
C’est une chose trop oubliée, dit le renard. Ça signifie « créer des liens… » (Chap. XXI)
Voici mon secret. Il est très simple : on ne voit bien qu’avec le cœur. L’essentiel est invisible pour les yeux. (Chap. XXI)
C’est le temps que tu as perdu pour ta rose qui fait ta rose si importante. (Chap. XXI)
Tu deviens responsable pour toujours de ce que tu as apprivoisé. (Chap. XXI)
Les hommes n’ont plus le temps de rien connaître. Ils achètent des choses toutes faites chez les marchands. Mais comme il n’existe point de marchands d’amis, les hommes n’ont plus d’amis. (Chap. XXI)
On n’est jamais content là où on est. (Chap. XXII)
Les enfants seuls savent ce qu’ils cherchent. (Chap. XXII)
Ce qui embellit le désert, dit le petit prince, c’est qu’il cache un puits quelque part… (Chap. XXIV)
J’ai toujours aimé le désert. On s’assoit sur une dune de sable. On ne voit rien. On n’entend rien. Et cependant quelque chose rayonne en silence… (Chap. XXIV)
On risque de pleurer un peu si l’on s’est laissé apprivoiser… (Chap. XXV)
Mais les yeux sont aveugles. Il faut chercher avec le coeur. (Chap. XXV)
J’aurai l’air d’être mort et ce ne sera pas vrai… (Chap. XXVI)
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