Le monde de la musique, et plus largement celui de la culture, vit depuis le début de la pandémie une année blanche bien noire à l’image des touches du piano sur lesquelles Simon Zaoui a trouvé un parfait territoire d’expression, de partage, d’émulation et, bien sûr, d’émotion. La musique de Gabriel Fauré, compositeur auquel le pianiste a consacré en compagnie de ses partenaires et amis Pierre Fouchenneret et Raphaël Merlin une intégrale de la Musique de Chambre, tend à élever au-dessus de ce qui est ; vision spirituelle à la résonance toute particulière en ces temps bien sombres. Revenons à l’essentiel !
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- Simon Zaoui, et la lumière fut !
Publié le par Nicolas Valiadis
Nicolas Valiadis
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L'Echo des codes
Selon la phrase de Pierre Hébraud, “l’histoire n’est pas une cause accidentelle ou une explication ; elle est le signe et le témoin des facteurs permanents”. Tel est le programme que se propose de réaliser L’écho des codes. Car l’histoire du droit est une matière vivante qui anime chaque institution, chaque article de loi, chaque décision de justice et qui irrigue les moeurs d’une société. Elle n’est pas explication du présent pas plus qu’elle n’est description du passé. Elle n’est pas folklore et elle n’est pas musée. Elle est la source et le relais des éléments de composition de toute contemporanéité qui résonnent à travers elle en échos successifs jusqu’à nous. L’écho des codes est un temps de culture juridique et judiciaire à travers l’éclairage de l’actualité par le regard de juristes historiens. Initiée par Boris Bernabé, la série est aujourd'hui animé par Valérie Ménès-Redorat et Pierre-Vincent Letourneau. Une production Amicus radio.
Selon la phrase de Pierre Hébraud, “l’histoire n’est pas une cause accidentelle ou une explication ; elle est le signe et le témoin des facteurs permanents”. Tel est le programme que se propose de réaliser L’écho des codes. Car l’histoire du droit est une matière vivante qui anime chaque institution, chaque article de loi, chaque décision de justice et qui irrigue les moeurs d’une société. Elle n’est pas explication du présent pas plus qu’elle n’est description du passé. Elle n’est pas folklore et elle n’est pas musée. Elle est la source et le relais des éléments de composition de toute contemporanéité qui résonnent à travers elle en échos successifs jusqu’à nous. L’écho des codes est un temps de culture juridique et judiciaire à travers l’éclairage de l’actualité par le regard de juristes historiens.
Initiée par Boris Bernabé, la série est aujourd'hui animée par Valérie Ménès-Redorat et Pierre-Vincent Letourneau. Une production Amicus radio.
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Le Bien commun
Le droit est un art de formuler et d’arbitrer nos conflits. Ce n’est pas un ensemble figé de règles, il est un langage collectif et la justice est devenue l’enceinte dans laquelle une société toute entière se met en scène, se regarde et prétend se changer, bref, un lieu dans lequel s’élabore, non sans difficulté, la démocratie. Une démocratie dans laquelle le droit appartient à tous, c’est notre bien commun.Diffusée pour la première fois en 1999 dans les programmes de France Culture et après quinze années sur son antenne, l’émission phare d’Antoine Garapon renaît sur les ondes d’Amicus radio.L’émission poursuit un double objectif : vaincre les préjugés négatifs à l’égard du droit et permettre aux auditeurs de se l’approprier, et trouver les arguments pour en discuter les solutions, en comprendre les controverses, sans tomber dans l’effervescence de la polémique.Une émission d'Antoine Garapon, produite par Amicus radio.
Le droit est un art de formuler et d’arbitrer nos conflits. Ce n’est pas un ensemble figé de règles, il est un langage collectif et la justice est devenue l’enceinte dans laquelle une société toute entière se met en scène, se regarde et prétend se changer, bref, un lieu dans lequel s’élabore, non sans difficulté, la démocratie. Une démocratie dans laquelle le droit appartient à tous, c’est notre bien commun.
Diffusée pour la première fois en 1999 dans les programmes de France Culture et après quinze années sur son antenne, l’émission phare d’Antoine Garapon renaît sur les ondes d’Amicus radio.
L’émission poursuit un double objectif : vaincre les préjugés négatifs à l’égard du droit et permettre aux auditeurs de se l’approprier, et trouver les arguments pour en discuter les solutions, en comprendre les controverses, sans tomber dans l’effervescence de la polémique.
Une émission d'Antoine Garapon, produite par Amicus radio.
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23Win
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Podcasts – Free Trans Radio
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Les Temps électriques
Les temps électriques, ce sont ceux décrits par l’auteur de science-fiction Philip K. Dick, dans le roman “Les androïdes rêvent-ils de moutons électriques ?”, des temps où l’humanité y est interrogée en miroir de robots plus intelligents que leurs concepteurs. Notre présent tisse déjà ce futur, en introduisant dans notre quotidien l’intelligence artificielle, le calcul de risque, les probabilités, la prévision voire la prédiction dans tous les champs de l’activité humaine.Dans le contexte particulier de la justice, ces outils bouleversent déjà notre conception des moyens permettant la résolution de litiges entre individus : les “Legaltech”, start-ups spécialisées mêlant juridique et numérique, proposent une offre de plus en plus foisonnante tant à destination des professionnels que des particuliers, offre qui sera peut-être susceptible de substituer un jour au juge, au procureur, à l’avocat ou au greffier… et à l’humain d’une manière générale. “Les temps électriques” sont donc l’occasion de s’interroger, un instant, sur l’avenir de la justice que nous nous préparons. En vulgarisant tout d’abord les termes des débats actuels, en mettant en présence les différents acteurs et – surtout – en donnant la parole à ceux qui devront faire vivre la justice de demain et trouver la bonne mesure des outils de leur temps. Une émission de Yannick Meneceur et Sophie Sontag-Koenig, produite par Amicus radio.
Les temps électriques, ce sont ceux décrits par l’auteur de science-fiction Philip K. Dick, dans le roman “Les androïdes rêvent-ils de moutons électriques ?”, des temps où l’humanité y est interrogée en miroir de robots plus intelligents que leurs concepteurs. Notre présent tisse déjà ce futur, en introduisant dans notre quotidien l’intelligence artificielle, le calcul de risque, les probabilités, la prévision voire la prédiction dans tous les champs de l’activité humaine.
Dans le contexte particulier de la justice, ces outils bouleversent déjà notre conception des moyens permettant la résolution de litiges entre individus : les “Legaltech”, start-ups spécialisées mêlant juridique et numérique, proposent une offre de plus en plus foisonnante tant à destination des professionnels que des particuliers, offre qui sera peut-être susceptible de substituer un jour au juge, au procureur, à l’avocat ou au greffier… et à l’humain d’une manière générale. “Les temps électriques” sont donc l’occasion de s’interroger, un instant, sur l’avenir de la justice que nous nous préparons. En vulgarisant tout d’abord les termes des débats actuels, en mettant en présence les différents acteurs et – surtout – en donnant la parole à ceux qui devront faire vivre la justice de demain et trouver la bonne mesure des outils de leur temps.
Une émission de Yannick Meneceur et Sophie Sontag-Koenig, produite par Amicus radio.
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Philippe Reale
Fanzines - Photographies
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