Premier prix au concours Reine Elisabeth en 2017, élève de Roland Pidoux puis, à Berlin, du merveilleux et regretté pédagogue qu’était Heinrich Schiff, Victor Julien-Laferrière perpétue avec brio l’école française du violoncelle dont il participe à écrire les lettres de noblesse. Après Adam Laloum qui faisait, à ses côtés, chanter les chefs-d’œuvre que sont les Sonates pour violoncelle et piano de Brahms, Franck et Debussy, et Jonas Vitaud avec lequel il s’est penché sur le répertoire Russe de Rachmanivov et Chostakovitch, Victor Julien-Laferrière nous offre aujourd’hui une interprétation des Concertos de Dvorak et Martinu qui met un peu plus en lumière sa merveilleuse âme musicale, nouvelle pierre à son édifice qui tend vers les sommets…