Clint Eastwood est l’ultime géant de la production étasunienne, à travers ses rôles, ses réalisations, ses productions via sa société Malpaso, voire ses compositions musicales.

Sa persona est présente dans les films, car il n’hésite pas à se mettre en scène, lui, à travers tous les âges de son corps, mais également sa personnalité complexe, tout comme sa famille (ses compagnes, ses enfants…).

C’est la figure du justicier qui se dégage de ce corpus de films, à partir de son personnage de « Dirty » Harry Callahan, soit un héros solitaire, libertarien, en butte aux institutions qui n’a de cesse de dénoncer l’inefficacité et dysfonctionnements de celles-ci, en raison des excès de normes et de bureaucratie, voire de la corruption des élites (policières, judiciaires, politiques).

The post Clint Eastwood, le justicier et les institutions (3/3) first appeared on Amicus Radio.