D’Hiroshima mon amour à On connaît la chanson en passant par L’année dernière à Marienbad, il a cultivé l’art de surprendre et d’être où on l’attend le moins. Encore à 91 ans, il recevait le prix de l’innovation au Festival international du film de Berlin pour sa dernière œuvre, Aimer, boire et chanter. Claudia Hébert, chroniqueuse culturelle, explique à Jacques Beauchamp pourquoi Alain Resnais se voyait comme un metteur en scène et non comme un auteur.
Publié le par Radio-Canada
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