Des dialogues sans queue ni tête, des anecdotes déjantées, des personnages interchangeables, dont une pendule capricieuse… Avec sa première pièce de théâtre, le dramaturge Eugène Ionesco a voulu se moquer du vide des relations humaines, de notre manque d’écoute, ainsi que de la petite bourgeoisie. Julie Roberge, professeure de littérature, explique à Jacques Beauchamp en quoi La cantatrice chauve résulte de la Deuxième Guerre mondiale et du désamour de Ionesco pour le théâtre.
Publié le par Radio-Canada
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