Laissé à lui-même au large du Chili durant la course nautique la plus dangereuse au monde, au milieu de vagues « hautes comme les Alpes », le Montréalais a été emporté par la mer. C’était le 6 janvier 1997, après un dernier message radio alarmant lancé en pleine tempête. Robert Frosi, journaliste sportif, rend compte de la panique qui s’est emparée des proches de Gerry Roufs, et raconte à Jacques Beauchamp que le navigateur n’a pas largué les amarres dans les meilleures conditions mentales.