Fondée en 1909 pour combler les besoins de main-d’œuvre dans l’industrie du bois, Maillardville est vite devenue la plus grande communauté francophone à l’ouest de Saint-Boniface. C’est que les colons étaient conviés à y emmener leur famille et leur culture. L’historien Maurice Guibord explique à Jacques Beauchamp pourquoi les francophones représentaient une force de travail avantageuse pour la foresterie au début du 20e siècle.