Tempêtes spectaculaires, mers tumultueuses, effets de lumières passagers… Pour lui, la nature était quelque chose de dynamique, mouvant, qu’il fallait capturer sous son jour le plus dramatique et expressif. Ses imposantes toiles peintes avec de minuscules pinceaux ont fait de lui l’un des plus grands paysagistes de son temps. André Gilbert, commissaire d’expositions, raconte à Jacques Beauchamp comment William Turner a mis le voyage au centre de sa peinture.
Publié le par Radio-Canada
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