Le Centre du Cinéma et de l'Audiovisuel de la Fédération Wallonie-Bruxelles a présenté son bilan 2017. On connaît donc les entrées des films belges francophones en Belgique et en France. En Belgique, 17 films sont sortis en salles, "Angle mort" avec 41105 entrées est premier, "Noces" avec 39837 et "Tueurs" avec 30514 complètent le podium. "Insoumise" avec 65 entrées ferme la marche. En France, 12 films belges francophones ont pu sortir et "Chez nous" avec 320560 entrées devance "Faut pas lui dire" avec 146519 et "Noces" avec 108470. "Les Hommes d'argile" avec 88 entrées fait le plus petit score. Un Festival d'un nouveau genre a débuté ce 22 mars et durera jusqu'au 30 juin 2018. Dans le cadre de la célébration des cinquante ans de financement du cinéma belge francophone, Wallonie Bruxelles Images et Wallonie-Bruxelles International lancent en partenariat avec la plateforme Festival Scope, le Festival en ligne du Film Belge Francophone. Le Festival présente 15 films: courts et longs métrages de fictions, documentaires. Pour les longs métrages de fiction, il y a "Amer" de Hélène Cattet et Bruno Forzani, "Jeanne Dielmal, 23 Quai du Commerce, 1080 Bruxelles" de Chantal Akerman, "L’Envahisseur" de Nicolas Provost, "L’Iceberg" de Dominique Abel, Fiona Gordon et Bruno Romy ainsi que "Toto le héros" de Jaco Van Dormael. Les places sont gratuites et limitées à 500 par film. Plus d’infos sur www.festivalscope.com/all/festivals La 36ème édition du BIFFF aka le Brussels International Fantasy, Fantastic, Thriller and Science Fiction Film Festival), commencera le 3 avril prochain et se terminera le 15 avril. Il y aura des compétitions courts et longs métrages, Guillermo del Toro, Deon Meyer, le BIF Market, le Zombifff Day, le Bal des Vampires, le Body Painting Contest 2.0, la VR Screening Room et bien d'autres choses encore. De quoi occuper les amateurs du genre pendant treize jours à Bozar à Bruxelles ! Cette édition 2018 abordera des thèmes liés au féminisme, à la migration ou encore à la montée des nationalismes. Parmi les 2000 films soumis, l'équipe en partie renouvelée du BIFFF a retenu 104 longs métrages et une cinquantaine de courts. Parmi ces derniers, 11 sont belges et 6 d'entre eux seront présentés en avant-première mondiale. Guillermo del Toro, récemment oscarisé, est l’invité d’honneur et fera une MasterClass le mercredi 11 avril, les 850 places sont parties en une journée. Les films d'ouverture, ce sont "Ghostland" de Pascal Laugier avec Mylène Farmer et "Marrowbone" de Sergio G. Sanchez. Les clôtures, "The Gringo" de Nash Edgerton et "Maquia: when the promised flower blooms" de Mari Okada et Toshiya Shinohara. Plus d'infos sur www.bifff.net
Emissions- La Petite Histoire du Cinéma
- PODCAST CINEMA | CinéMaRadio présente "ça est du Belge!" #11
Publié le par Florent Mounier | La Fabrik Audio
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Les Temps électriques
Les temps électriques, ce sont ceux décrits par l’auteur de science-fiction Philip K. Dick, dans le roman “Les androïdes rêvent-ils de moutons électriques ?”, des temps où l’humanité y est interrogée en miroir de robots plus intelligents que leurs concepteurs. Notre présent tisse déjà ce futur, en introduisant dans notre quotidien l’intelligence artificielle, le calcul de risque, les probabilités, la prévision voire la prédiction dans tous les champs de l’activité humaine.Dans le contexte particulier de la justice, ces outils bouleversent déjà notre conception des moyens permettant la résolution de litiges entre individus : les “Legaltech”, start-ups spécialisées mêlant juridique et numérique, proposent une offre de plus en plus foisonnante tant à destination des professionnels que des particuliers, offre qui sera peut-être susceptible de substituer un jour au juge, au procureur, à l’avocat ou au greffier… et à l’humain d’une manière générale. “Les temps électriques” sont donc l’occasion de s’interroger, un instant, sur l’avenir de la justice que nous nous préparons. En vulgarisant tout d’abord les termes des débats actuels, en mettant en présence les différents acteurs et – surtout – en donnant la parole à ceux qui devront faire vivre la justice de demain et trouver la bonne mesure des outils de leur temps. Une émission de Yannick Meneceur et Sophie Sontag-Koenig, produite par Amicus radio.
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Plongée à micro ouvert dans le quotidien ordinaire et extraordinaire du droit et de la justice. Acteurs volontaires ou involontaires, à titre d’expert ou de profane, de façon habituelle ou occasionnelle, ils nous livrent vingt quatre heures de leur vie personnelle et professionnelle comme elle vient.À la façon d’un témoignage impressionniste et dans la spontanéité du moment vécu, ces reportages documentent d’une façon originale la diversité de nos rapports au droit et de notre vie en société.
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L'Echo des codes
Selon la phrase de Pierre Hébraud, “l’histoire n’est pas une cause accidentelle ou une explication ; elle est le signe et le témoin des facteurs permanents”. Tel est le programme que se propose de réaliser L’écho des codes. Car l’histoire du droit est une matière vivante qui anime chaque institution, chaque article de loi, chaque décision de justice et qui irrigue les moeurs d’une société. Elle n’est pas explication du présent pas plus qu’elle n’est description du passé. Elle n’est pas folklore et elle n’est pas musée. Elle est la source et le relais des éléments de composition de toute contemporanéité qui résonnent à travers elle en échos successifs jusqu’à nous. L’écho des codes est un temps de culture juridique et judiciaire à travers l’éclairage de l’actualité par le regard de juristes historiens. Initiée par Boris Bernabé, la série est aujourd'hui animé par Valérie Ménès-Redorat et Pierre-Vincent Letourneau. Une production Amicus radio.
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