Michel Berger continue de faire l’actualité, 30 ans après sa mort en 1992 à 44 ans d’une crise cardiaque après une partie de tennis. Sa chanson inédite « Vivre », recalée de l’album « Beauséjour » en 1980, a été dévoilée le 7 octobre. Un mois plus tard, le 8 novembre, l’ombre du chanteur planera sur la Seine musicale, à Boulogne-Billancourt (Hauts-de-Seine), à l’occasion du retour de son opéra rock créé avec Luc Plamondon « Starmania ».


En trois décennies Michel Berger s’est imposé comme un compositeur, parolier et chanteur de génie, avec des tubes comme « la Groupie du pianiste », « le Paradis blanc » ou encore « les Princes des villes ». Une carrière marquée par une longue collaboration avec sa femme France Gall. Son père qui l’avait abandonné, la maladie de sa fille Pauline, ou encore les morts prématurées de son frère et d’amis proches, n’ont jamais entamé sa fécondité artistique.


La vie de Michel Berger est résumée dans notre podcast Code source, par Grégory Plouviez, chef adjoint du service Culture du Parisien.


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Crédits. Direction de la rédaction : Pierre Chausse - Rédacteur en chef : Jules Lavie - Reporter : Ambre Rosala - Production : Raphaël Pueyo et Clara Garnier-Amouroux - Réalisation et mixage : Julien Montcouquiol - Musiques : François Clos, Audio Network, Epidemic Sound - Identité graphique : Upian - Archives : INA.



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