L’introduction du label de la « société à mission » avec la loi PACTE de 2019 vise à inciter les entreprises à s’engager plus dans des initiatives sociales et environnementales de façon transparente et suivie. C’est aller au-delà de la nécessaire prise en compte des enjeux sociaux et environnementaux posée par l’article 1833 du Code civil révisé par la même loi. Bien qu’en phase de croissance, le label société à mission reste relativement peu diffusé. Il semble concerner ainsi surtout des entreprises de petite taille, présentes dans des activités de service et faisant partie de l’Économie sociale et solidaire. Pour le moment, les sociétés cotées en bourse semblent faire montre d’un faible intérêt pour ce label. Une des pionnières à avoir opté pour cette qualité, le groupe Danone, a d’ailleurs rencontré quelques difficultés. Notre contribution cherche à comprendre quels sont les avantages et les limites de ce nouveau label pour les entreprises et d’identifier des propositions pour améliorer son efficacité.
Emissions- Colloque du Cercle de L'ObSoCo 2021 - Consommation et COVID-19 : déformations ou transformations?
- Enrico COLLA, Professeur émérite à ESCP Business School : L’entreprise vertueuse après la Covid et la loi Pacte
Publié le par L'ObSoCo
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La Justice à l'oeil
La Justice à l'oeil, le droit saisi par le cinéma. Depuis nombre d’années, les citoyens sont intéressés par la justice, les institutions et leur fonctionnement. Ayant accès à diverses sources écrites et audiovisuelles, leurs interrogations et réflexions s’en trouvent accrues. En la matière, les films de fiction et documentaires constituent une ressource propre à rendre compréhensibles des questions théoriques et à permettre aux justiciables, citoyens administrés ou aux étudiants et de participer aux débats en cours. Au cours de cette émission, nous envisagerons les représentations des questions judiciaires, juridiques et politiques via des extraits de films de toutes époques et cinématographies avec des invités issus des professions juridiques, des spécialistes du cinéma et des universitaires travaillant dans une perspective Droit et cinéma". Une émission créée par Barbara Villez, animée par Magalie Flores-Lonjou et produite par Amicus radio.
La Justice à l'oeil, le droit saisi par le cinéma.
Depuis nombre d’années, les citoyens sont intéressés par la justice, les institutions et leur fonctionnement. Ayant accès à diverses sources écrites et audiovisuelles, leurs interrogations et réflexions s’en trouvent accrues.
En la matière, les films de fiction et documentaires constituent une ressource propre à rendre compréhensibles des questions théoriques et à permettre aux justiciables, citoyens administrés ou aux étudiants et de participer aux débats en cours.
Au cours de cette émission, nous envisagerons les représentations des questions judiciaires, juridiques et politiques via des extraits de films de toutes époques et cinématographies avec des invités issus des professions juridiques, des spécialistes du cinéma et des universitaires travaillant dans une perspective Droit et cinéma".
Une émission créée par Barbara Villez, animée par Magalie Flores-Lonjou et produite par Amicus radio.
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Le Bien commun
Le droit est un art de formuler et d’arbitrer nos conflits. Ce n’est pas un ensemble figé de règles, il est un langage collectif et la justice est devenue l’enceinte dans laquelle une société toute entière se met en scène, se regarde et prétend se changer, bref, un lieu dans lequel s’élabore, non sans difficulté, la démocratie. Une démocratie dans laquelle le droit appartient à tous, c’est notre bien commun.Diffusée pour la première fois en 1999 dans les programmes de France Culture et après quinze années sur son antenne, l’émission phare d’Antoine Garapon renaît sur les ondes d’Amicus radio.L’émission poursuit un double objectif : vaincre les préjugés négatifs à l’égard du droit et permettre aux auditeurs de se l’approprier, et trouver les arguments pour en discuter les solutions, en comprendre les controverses, sans tomber dans l’effervescence de la polémique.Une émission d'Antoine Garapon, produite par Amicus radio.
Le droit est un art de formuler et d’arbitrer nos conflits. Ce n’est pas un ensemble figé de règles, il est un langage collectif et la justice est devenue l’enceinte dans laquelle une société toute entière se met en scène, se regarde et prétend se changer, bref, un lieu dans lequel s’élabore, non sans difficulté, la démocratie. Une démocratie dans laquelle le droit appartient à tous, c’est notre bien commun.
Diffusée pour la première fois en 1999 dans les programmes de France Culture et après quinze années sur son antenne, l’émission phare d’Antoine Garapon renaît sur les ondes d’Amicus radio.
L’émission poursuit un double objectif : vaincre les préjugés négatifs à l’égard du droit et permettre aux auditeurs de se l’approprier, et trouver les arguments pour en discuter les solutions, en comprendre les controverses, sans tomber dans l’effervescence de la polémique.
Une émission d'Antoine Garapon, produite par Amicus radio.
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Les Documentaires
Pour être bien comprise et largement partagée, la vie du droit nécessite d’être documentée. Et bien documenter ce fait en allant chercher les thèmes là où ils prennent leur source et se nourrissent, pas seulement chez les juristes et au-delà des livres : dans tous les aspects de notre quotidien, les petits ou grands événements de notre histoire, les arguments échangés lors des controverses, près de chez nous comme à l’autre bout du monde, à l’écran ou lors d’une rencontre. Les rendez-vous documentaires poursuivent une vocation aussi informative que ludique, en rassemblant entretiens, extraits d’archives, de reportages, mises en perspectives et commentaires sur un thème ou une question choisie par un expert.
Pour être bien comprise et largement partagée, la vie du droit nécessite d’être documentée. Et bien documenter ce fait en allant chercher les thèmes là où ils prennent leur source et se nourrissent, pas seulement chez les juristes et au-delà des livres : dans tous les aspects de notre quotidien, les petits ou grands événements de notre histoire, les arguments échangés lors des controverses, près de chez nous comme à l’autre bout du monde, à l’écran ou lors d’une rencontre. Les rendez-vous documentaires poursuivent une vocation aussi informative que ludique, en rassemblant entretiens, extraits d’archives, de reportages, mises en perspectives et commentaires sur un thème ou une question choisie par un expert.
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Les Temps électriques
Les temps électriques, ce sont ceux décrits par l’auteur de science-fiction Philip K. Dick, dans le roman “Les androïdes rêvent-ils de moutons électriques ?”, des temps où l’humanité y est interrogée en miroir de robots plus intelligents que leurs concepteurs. Notre présent tisse déjà ce futur, en introduisant dans notre quotidien l’intelligence artificielle, le calcul de risque, les probabilités, la prévision voire la prédiction dans tous les champs de l’activité humaine.Dans le contexte particulier de la justice, ces outils bouleversent déjà notre conception des moyens permettant la résolution de litiges entre individus : les “Legaltech”, start-ups spécialisées mêlant juridique et numérique, proposent une offre de plus en plus foisonnante tant à destination des professionnels que des particuliers, offre qui sera peut-être susceptible de substituer un jour au juge, au procureur, à l’avocat ou au greffier… et à l’humain d’une manière générale. “Les temps électriques” sont donc l’occasion de s’interroger, un instant, sur l’avenir de la justice que nous nous préparons. En vulgarisant tout d’abord les termes des débats actuels, en mettant en présence les différents acteurs et – surtout – en donnant la parole à ceux qui devront faire vivre la justice de demain et trouver la bonne mesure des outils de leur temps. Une émission de Yannick Meneceur et Sophie Sontag-Koenig, produite par Amicus radio.
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