C'est encore un peu la rentrée, les raisons de déprimer ne manquent pas (pas merci Michel), alors pourquoi ne pas aborder un sujet léger et frais ! C'est parti pour l'épisode 26 : Sens interdit, ici c'est Ennui (avec un E majuscule parce que).

On a souvent parlé du boulot de bibliothécaire comme d'une course contre la montre, un incendie permanent, mais des fois on va pas se mentir on peut aussi grave se faire chier ... donc on va parler de la question du sens dans le boulot mais sans tomber dans le piège de la carotte qui fait oublier les conditions dans lesquelles on bosse. Et c'est parti pour les liens qui vont bien !

On a évoqué une fois encore le vocational awe, concept de Fobazi Ettarh sur notre émerveillement-aveuglement professionnel et pour ne pas citer toujours le même article on vous fait passer la transcription de cette conf' de 2021 qui complète bien le truc :* “The Future of Libraries:” Vocational Awe in a “Post-COVID” World*

On a reparlé du petit article d'Anne Helen Petersen sur les différences entre boundaries et guardrails dans une équipe The librarians are not okay

On parle de burn out et de bore out, ce qui les lie et les rapproche, on vous invite à passer sur les articles de Wikipédia sur le sujet pour en savoir un peu plus.

Pour compléter ce qu'on a déjà raconté sur la symétrie des attentions on peut regarder l'article (un peu ancien mais bon ça va) de Charles Ditandy et Benoît Meyronin (publié dans un add-on de l'Expansion ce qui veut quand même bien dire qu'on est devenus de droite).

On vous rappelle que vous pouvez retrouver les épisodes sur la plateforme Spectre (bon, on n'est pas les plus rapides pour uploader les épisodes mais promis ça arrive) et écouter les autres podcasts de la plateforme sur leur appli native sur android ou sur iOS
Dans les dernières parutions on vous conseille l'épisode du podcast Du Poil sous les bras avec Dominique Simmonot, contrôleuse générale des lieux de privation de liberté.

C'est tout pour ce mois-ci ! On se retrouve la prochaine fois pour parler santé mentale, alors en attendant prenez soin de vous et n'oubliez pas que la dégradation des conditions de travail n'est pas une fatalité !
Bisous