Dix ans après l’attentat et "Je suis Charlie", 46% des 18-24 ans se disent "choqués" que l’on ait pu caricaturer le prophète Mahomet. Plus généralement, les offenses envers les religions sont vues comme un manque de respect ou une atteinte à l’intimité. Dans un lycée francilien, où des élèves étudient des dessins de presse avec leur professeur, le sujet fait débat.