L’Histoire comme Résurrection Ce texte réactive la méthode unique de Jules Michelet : l’Histoire conçue non comme une narration froide, mais comme une « résurrection » charnelle. Avec son style physiologique, fait de sang, de nerfs et de rythmes haletants, Michelet ne décrit pas la crise de 2025, il la dissèque à vif. Il oppose la « Vie » organique (l’Ukraine martyre, incarnation du Peuple) à la « Machine » mortifère (l’axe Trump-Poutine).

La Russie y est dépeinte comme l’empire du « Néant » et du Mensonge, une façade de glace sans âme, tandis que l’Amérique de Trump devient le « Sabbat » de l’argent roi, une orgie de vulgarité. À travers des métaphores violentes (le Vampire, la Fange, le Somnambulisme), ce pastiche redonne à la géopolitique sa dimension de drame cosmique entre la Lumière et les Ténèbres, sommant l’Europe de sortir de sa torpeur avant la nuit définitive.