Je ne suis pas ici pour te raconter A Serbian Film. Ca fait treize ans que tout le monde le raconte, surtout celles et ceux qui l’ont pas vu d’ailleurs, comme souvent dans le cinéma un petit peu énervé depuis qu’internet existe et qu’on peut colporter tout un tas de rumeurs sur tous les thèmes possibles et imaginables et faire passer les films pour plein de trucs, surtout pour ce qu’ils ne sont pas. A Serbian Film ne fait pas exception, et s’il n’est ni le premier, ni le dernier scandale cinématographique horrifique de l’histoire, c’est un de ceux qui a le plus marqué mon adolescence puisque j’avais 17 ans quand il est sorti. Je commençais tout juste à vraiment m’intéresser au cinéma d’horreur et à l’époque il faisait partie des films qui me terrifiaient à la simple idée de les voir.

C’est de cette idée que je vais parler dans l’épisode d’aujourd’hui en utilisant la popularité, ou l’impopularité selon comment on le prend, de A Serbian Film, qui n’est finalement qu’un seul symptôme parmi tant d’autres de tout ce pan du cinéma extrême qui, au lieu d’être vu, préfère être raconté.


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