Sur les courts de tennis ou sur la scène du stade de France, à la télé ou à la radio, pour ses engagements humanitaires ou pour son parcours hors normes, Yannick Noah fait partie du paysage français. C’est un fait. Alors, je dois vous avouer que lorsque je l’ai eu au téléphone pour caler une date d’enregistrement, j’étais un peu impressionné. Au moment où il a décroché, j’ai compris que cet épisode allait être une tuerie. 


“ Les gens me tutoient facilement et je pense que c’est une bonne chose. Il y a suffisamment de barrière dans la vie sans avoir besoin de se rajouter celle-ci !”


Car Yannick est exactement le même dans la vraie vie que dans ses interviews. Si certains peuvent jouer des rôles, ce n’est pas son cas et en enregistrant, dans son jardin, au milieu des oiseaux, j’avais eu l’impression de le connaître.


Dans cet épisode, je voulais comprendre comment on vit de telles heures de gloire comme celles qu’il a vécues, et comment on vit les moments entre celles-ci ? Savoir comment on pouvait devenir l’un des meilleurs joueurs de tennis au monde, atteindre des sommets en étant chanteur mais aussi se réinventer en humanitaire ou en coachant le PSG ? Saisir le secret de sa réussite, mais aussi de celles de ses enfants, car chez les Noah, le sport on a ça dans le sang et on réussit big time ! Pour la faire courte, je voulais tout savoir, qu’il nous dévoile tous ses secrets et vous savez quoi ? Il l’a fait ! 


“Le tennis, c’était ma vie, mon addiction, je vivais au rythme de la balle. ”


De son arrivée en France à 12 ans et des difficultés que c’était pour lui de vivre éloigné de sa famille, en passant par l’écriture de sa toute première chanson “Saga Africa” à sa victoire en Australie où il prend la décision de raccrocher la raquette, il raconte tout sans fards. 

Vous saurez comment il a sélectionné ses joueurs en tant que capitaine, comment il s’est formé à devenir coach, sa méthode magique pour être écouté et entendu de tous comme comment il vit sa notoriété. 


“Quand les gens me reconnaissent, ça donne toujours quelque chose de beau, de joli. .”


Vous découvrirez tout de sa philosophie et de ses routines entre sport, voyage et méditation et il nous dévoilera son plus grand regret. Connaîtrez les raisons derrière ces succès impressionnants et sur ce qui l’anime au quotidien. Saisirez tout de ces principes de coaching qui peuvent nous servir à nous aussi, managers et boss d’entreprises. Et en prime, vous aurez le droit à une séance de visualisation pour rester focus même dans les moments les plus stressants de nos vies (que je compte bien proposer Petit BamBou). 


“Le bon coach, il prend des décisions, il les explique, mais il ne fait pas de compromis. Jamais. ”


Ensemble, on parle également du lien entre les générations, de sa relation avec ses parents et avec ses 5 enfants, de ses derniers projets caritatifs, de son incapacité à jouer de la guitare (si, si je vous assure), de ses débuts en tant que chanteur dans les MJC alors qu’il venait de remporter la coupe davis, de ce que cela fait d’être célèbre, de Griezmann et Mbappé, de CR7, de Rafa et Roger, de Mohamed Ali, de racisme aussi mais surtout de bonheur et de réussir. 


Un épisode feel-good avec plein d’enseignements à la clé à écouter immédiatement que vous soyez fan de sa musique, de ses idées, de son parcours ou non. 


Pendant cet épisode, on a parlé de : 



et il vous recommande plus particulièrement Sapiens : une brève histoire de l’humanité de Yuval Noah Harari qui est juste GÉ-NI-AL. 



Nous avons parlé de 3 associations qui font un travail formidable :  Enfants de la Terre, Fête le Mur et psychodon. Je compte sur la #TeamGDIY pour les soutenir ;). 



Merci à Zoé, ma super co-productrice et mille mercis à Amandine, la nièce de Yannick sans qui cet épisode n’aurait pas pu voir le jour ! 


Je dédie cet épisode aux relations oncle / nièce-neveux, avec d’un côté Amandine qui m’a permis d’enregistrer ce très bel épisode et de l’autre, mon oncle Loïc que j’adore.