Au moment où de soi-disant réformateurs de l’impôt font assaut de chiffres sans signification et de jugements de valeur arbitraires pour ne pas reconnaître qu’un impôt “plus juste” ne peut être qu’un impôt plus bas, il paraît nécessaire d’exterminer un faux concept auquel on croyait que Friedrich Hayek avait déjà tordu le cou. François Guillaumat et Georges Lane complètent donc la démonstration de Hayek, en signalant que le discours sur une prétendue “justice sociale” est un procès fait à la réalité d’être ce qu’elle ne peut pas ne pas être, au nom de prétendues “normes” qui sont strictement impensables, et dans l’illusion de réaliser ce qui est tout aussi impossible.
En espérant contribuer à lever un obstacle aux changements qui s’imposent : supprimer les Impôts de la Haine, puis libérer l’Argent Caché que le pillage socialiste s’acharne à détruire.
Enregistrements précédents :
L’arbitraire fiscal ; L’argent caché ; La Loi de Bitur-Camember ; Pourquoi pas Bitur-Camember ? ; La prétendue “comptabilité publique” n’est pas une comptabilité
Textes :
Marc Suivre : Ce que le quadra… génère ; Murray Rothbard : “Peut-il y avoir un impôt juste?” ; Friedrich Hayek : Le Mirage de la justice sociale ; Ayn Rand : “An Untitled Letter” dans Philosophy: Who Needs it?; François-René Rideau : “Rawls, ou le socialisme diabolique”