Avec Escape from New York, Snake Plissken arrive sur nos tables. Entre coopération et trahison, une adaptation fidèle du classique de 1981.
Rôliste devenu platoïste par manque de temps. Pâtissier initié et fan de Robbie Williams. Patriarche de cœur d’un troupeau de gremlins. Aime qu’un jeu lui raconte une histoire…
Escape from New York : Plongée urbaine et violente sur plateau
Avertissement : Dans un souci de transparence envers notre communauté, nous tenons à préciser que cet article reflète notre opinion personnelle sur le jeu. Nous n’avons reçu aucune contrepartie de la part de l’éditeur du jeu. Nous avons acquis et testé le jeu de façon indépendante, sans lien commercial avec son éditeur. Les avis présentés ici représentent notre analyse honnête et impartiale du jeu, basée sur notre propre expérience.
En bref
- Un jeu semi-coopératif basé sur le film culte de John Carpenter, où vous devez sauver le président dans une Manhattan transformée en prison.
- Quatre personnages asymétriques aux capacités uniques, offrant des expériences de jeu variées mais un système de base assez simple.
- Une durée de vie qui dépendra fortement de votre attachement au film original, avec une note de 4/5 pour les fans et 2,5/5 pour les néophytes.
Snake Plissken est de retour, et cette fois, c’est vous qui prenez les commandes de cette mission suicide dans Escape from New York, l’adaptation du film en jeu de société.
Mon premier article dans ces colonnes date de mai 2022 et proposait le test d’un jeu revisitant un classique cinématographique des années 80 : The Thing, réalisé par John Carpenter, avec Kurt Russell.
Le même petit éditeur italien Pendragon a décidé de remettre le couvert avec une seconde collaboration Carpenter/Russell tout aussi classique : Escape from New York, plus connu en français sous le titre New York 1997. Un film tout aussi mythique ayant marqué toute une jeune génération de cinéphiles, notamment par l’intermédiaire de Snake Plissken, le personnage de Kurt Russell.
Ce n’est pas la première fois que le film est adapté en jeu de plateau. En 1981, le grand ancien TSR en faisait déjà une exploration ludique… mais parlons plutôt du matériel d’origine.
The Thing, plongée polaire et parano sur plateau
New York 1997, sorti en 1981
Film d’anticipation avec la proposition de départ suivante : l’île de Manhattan est devenue une prison de haute sécurité à grande échelle où la lie de l’humanité est envoyée purger sa peine. Entourée d’un mur avec mirador, barbelés et matons surarmés, l’Hudson River sert de frontière naturelle. Une population devant survivre sur place par tous les moyens, avec ses propres us et coutumes, dirigée par des chefs mafieux très stéréotypés.
Tout irait pour le mieux si l’avion présidentiel ne s’écrasait au milieu des quartiers en ruines. Le président, ainsi que la mallette contenant les codes nucléaires, s’y trouve encore en vie. Les autorités le savent grâce à un bracelet spécifique qu’il porte.
Snake, ancien militaire incarcéré à vie, est envoyé sur place pour récupérer POTUS et sa mallette. C’est une mission suicide qui lui permettra de retrouver sa liberté s’il s’en sort.
Au gré de son aventure, il rencontrera certains personnages secondaires offrant leur aide en échange d’une porte de sortie de l’enfer local.
Un scénario MacGuffin (plein de personnes cherchent le même objet) pour une course-poursuite haletante dans les rues de New York. Bien qu’ayant marqué son époque (contrairement à sa suite Escape from L.A. sortie en 1996…), le film a sacrément mal vieilli !
Alors que The Thing reste presque moderne, on sent ici une époque révolue et surtout une vision éculée d’un futur proche tellement lointain pour nous. Ce n’est pas grave, on aime et on profite de la balade.
William Gibson, le père du cyberpunk, cite le film comme une de ses inspirations pour son roman Neuromancer. C’est dire à quel point le film peut être marquant !
Qu’en sera-t-il du jeu ?
Survol de la ville
Un plan de Manhattan servira de plateau de jeu. On y retrouve forcément les Twins Towers du World Trade Center (oui, le film date de 1981 et l’éditeur s’est tenu au scénario original) avec la piste d’atterrissage pour le planeur, Central Park et ses mauvaises fréquentations nocturnes, la bibliothèque d’où partiront vos héros, les quais de l’Hudson River.
Des cartes viendront aléatoirement recouvrir la ville, permettant d’avoir une géographie différente à chaque partie. Il faudra ensuite explorer et découvrir ce que chaque coin de rue peut cacher.
Des cartes spécifiques serviront de balises pour trouver certains objets recherchés : valises ou montre présidentielles, plans des ponts entourant l’île, cassettes de magnétophones (je viens de perdre tous les moins de 40 ans parmi nos lecteurs !…) contenant des infos cruciales. Mais ces balises représentent aussi l’apparition des trois boss du jeu : Romero, Slag et Duke.
Il reste à placer le plateau spécifique de la ville de New York et des tas de cartes pas loin ainsi que les 4 mallettes présidentielles en bord de plateau et on peut attaquer la partie, le mot n’est pas si mal choisi.
Règles d’engagement
Le livret de règles, là se trouve le vrai problème de ce jeu !
Mal organisé, avec des allers-retours, des questions restant en suspens, des points de règle obscurs… Je ne sais pas qui était à la tête de sa rédaction mais « c’était pas la chips la plus craquante du paquet » comme disent nos filles !
Je ne sais pas comment, à l’heure actuelle, on arrive encore à faire des règles aussi mal rédigées et expliquées. Surtout qu’en fin de compte, les règles de base sont presque enfantines. On y ajoute une dose de complexification pour diverses raisons mais le système reste basique.
Escape from New York. We need you!
Quatre personnages seront proposés. Snake Plissken, le mercenaire borgne. Cabby, le chauffeur de taxi. Maggy, la prostituée au grand cœur. Et Harold aka « Brain », le scientifique aux ordres de Duke qui retourne sa veste pour s’en sortir.
Alors oui, tout le monde va me dire qu’il veut jouer Snake et que les autres ne servent à rien. Ce n’est pas totalement faux…
Toutefois, dans un esprit de découverte j’ai testé tous les personnages proposés et ça a été plutôt une bonne surprise car chacun possède son propre deck personnel et donc ses propres actions. Une grosse asymétrie lorsqu’on se plonge dans leurs possibilités.
Snake sera le flingueur de service, rapide et discret si besoin. Cabby sera rapide grâce à son taxi, pourra rouler sur les prisonniers et défoncer des barrages. Maggy sera également une flingueuse patentée mais elle connaît aussi du monde, ce qui peut aider. Harold s’y connaît en technologie et peut infliger de gros dégâts aux boss lui faisant bêtement confiance.
Le groupe pouvant être ainsi monté sera complémentaire et chacun y trouvera une place à sa mesure.
Aux sources d’une île
Tout le monde commence à la bibliothèque, au centre de Manhattan.
Chaque personnage possède une main de cartes spécifiques. Toutes vos cartes sont disponibles dès le début du jeu. Certaines de vos actions engendreront plus ou moins de bruit.
Vous jouez deux cartes faces cachées : on retourne la première et on la résout. Même chose avec la suivante. Vous pouvez également défausser une de ces cartes sans la montrer à vos équipiers pour vous déplacer ou faire des blessures sur votre case actuelle.
Vos cartes iront dans la défausse et pour les récupérer il faudra, la plupart du temps, faire avancer le compte à rebours de la fin de partie. Mais d’autres options sont possibles.
Vous pouvez vous déplacer sur une case découverte et révéler une case inconnue adjacente. On y installe les prisonniers/matos/points d’intérêts. Ces derniers auront un impact sur la suite de l’aventure.
Vous pouvez faire des dégâts à des prisonniers se trouvant sur votre case.
Vous pouvez profiter de certains bâtiments en fin de tour de jeu : hôpital, armurerie, planque.
Pas trop compliqué comme concept. Et puis New York entre en jeu…
La ville qui ne dort jamais
New York intervient par l’intermédiaire d’un automa. Des cartes vous donneront des instructions pour déplacer les prisonniers ou les boss, les faire attaquer, voir débouler des renforts et tout un tas d’autres joyeusetés.
La ville vit et tout ce qui se trouve sur le plateau de jeu fera quelque chose si vous êtes à portée.
Tout sera géré par l’échelle de bruit qui variera selon les tours. Plus les cartes que vous aurez jouées auront été bruyantes et plus rapidement la meute se dirigera vers vous pour assouvir sa soif de violence.
Le système tourne bien et est assez plaisant. Forcément, entre un personnage qui court dans les rues en lâchant des rafales de Uzi et un autre qui passe par les égouts sans se faire repérer, les actions de la ville seront différentes.
Les cartes à découvrir sur le plateau seront réparties en 3 types : la ville, Central Park et les balises.
L’île aux trésors
Dans Escape from New York, votre objectif est clair : trouver le président, la cassette contenant des infos cruciales et le plan d’un des 4 ponts permettant de quitter Manhattan. Si c’est le cas, tous les personnages doivent se retrouver sur la case d’accès au pont et c’est une victoire collective ! Je reviendrai un peu plus loin sur d’autres manières de s’en sortir…
Harold possède un des 4 plans dès le début de la partie. Les 3 autres se trouvent dans des mallettes détenues par les boss de la ville. Il vous faudra donc les trouver, les flinguer et récupérer leurs mallettes pour voir ce qu’elles contiennent.
Selon la physionomie de la ville cela peut prendre du temps pour y arriver, alors que la horde de prisonniers est à vos trousses.
Heureusement, durant votre équipée sauvage, vous trouverez peut-être des amphétamines, une batte de baseball cloutée, des munitions, une hache ou un couteau. Bref de quoi agrémenter la discussion avec les autochtones et surtout défendre votre point de vue. Il est toujours bon d’avoir une présence tranquillisante.
Par contre, vous n’aurez la possibilité d’avoir que trois « objets » au maximum. Le président, la cassette présidentielle et un plan de pont pour sortir… et vous n’aurez plus de place pour autre chose.
Chasse à l’homme
Car oui, je vous rappelle que l’île sur laquelle vous vous trouvez est devenue une prison de haute sécurité. Des grappes de prisonniers, aux ordres des 3 boss mafieux, vont vous poursuivre afin de vous faire la peau. Pas d’empathie ici : ce sera vous ou eux !
Les boss portent bien leur nom. Ils sont plus costauds, plus rapides et beaucoup plus dangereux. Pouvant passer par les égouts, ils vous tombent dessus sans crier gare accompagnés de quelques prisonniers bonus le cas échéant.
Rassurez-vous, vous n’avez aucune chance de mourir en cours de partie. Pour chaque blessure encaissée, vous devrez vous défausser d’une carte de votre main. Si vous n’avez plus de cartes disponibles, pas d’effet secondaire.
Il va quand même falloir refaire votre main si vous voulez pouvoir agir durant votre tour de jeu. Pour cela il faudra faire avancer le chrono bien sûr. Ce qui n’est jamais bon.
Taxi driver
Certains prisonniers circuleront en voiture. Ils iront plus vite et seront plus protégés contre vos dégâts éventuels.
Lorsque vous les aurez flingués, la voiture sera disponible pour vous. À vous les randonnées sauvages dans les rues de New York : plus rapide, plus dangereux et pouvant défoncer les barricades. Vous deviendrez l’Aigle de la route (pour les fans de Mad Max des années 80).
Cabby a déjà son taxi en début de partie. Il peut le perdre et récupérer un autre véhicule sans soucis.
Un véritable atout au niveau tactique et potentiel destructeur. Les voitures sont à garder en tête pour faciliter vos actions.
Compte à rebours
Plus vous jouerez vos cartes et plus vos choix seront restreints. Lorsque vous n’avez plus qu’une carte en main ou moins, vous devrez faire avancer le compte à rebours de la fin de partie pour récupérer dans votre main toutes vos cartes défaussées, avec certains impondérables…
Si vous avez un peu de chance et que vous trouvez la planque de Duke rapidement, cela n’aura pas trop d’incidence. Mais si vous n’avez pas pris la bonne direction, le chrono défile et vous met une pression supplémentaire.
Si vous êtes encore sur l’île lorsqu’il se déclenche, la partie est perdue !
La grande évasion
Une fois que l’un des joueurs a libéré le président, tout le monde se retrouve au pont choisi par les plans disponibles. Si vous êtes à l’autre bout de la ville, cela risque de prendre un peu de temps. Alors que le chrono défile…
Au cas où cela se passerait mal, une seconde option s’offre à vous : la victoire solitaire. Mais pour cela il faudra avoir pris le temps d’accumuler un peu d’expérience. Chaque personnage possède 3 niveaux à débloquer durant la partie en tuant des prisonniers ou en récupérant du matériel qui traîne çà et là.
À chaque palier franchi, vous aurez la possibilité d’échanger une carte expérimentée avec une carte basique de votre deck personnel. Pas plus de cartes mais des cartes plus puissantes que vous choisirez parmi les 5 disponibles. Ces cartes expérimentées sont également personnelles ainsi personne n’évoluera de la même manière d’une partie à l’autre.
Seul un personnage ayant débloqué ses trois niveaux d’expérience peut tenter une victoire individuelle. À ce moment, le jeu bascule dans une autre dimension.
Un pour tous et tous pour soi !
À nouveau on a ici un jeu semi-coopératif.
Tout le monde se serre les coudes pour s’en sortir en vie avec le président tout comme dans le film.
La bonne idée a été de proposer une manière de gagner en solitaire… en abandonnant les autres dans la prison tout en négociant sa sortie.
Chacun des participants aura deux options dès le début de partie pour s’en sortir en solo. Il pourra éventuellement modifier ces conditions durant la partie s’il le désire. Rien n’est gagné à l’avance mais si on voit qu’une partie du groupe est en train de perdre toutes chances de s’en sortir… autant sauver sa peau !
L’arrivée d’un hélicoptère dans Central Park, le planeur sur le toit du World Trade Center ou les radeaux sur les berges de l’Hudson sont alors des options vitales selon vos objectifs secrets.
Et pour quelques dollars de plus…
Il existe quelques bonus pour compléter votre plaisir coupable…
Boîte Stretch goals : plein de figurines pour les voitures, les caisses, les munitions, les prisonniers et tout le reste. Quelques options de jeu différentes et surtout des tuiles bonus pour les fans de la filmographie de John Carpenter : une pour The Fog (1980), une pour They Live (1988), une pour Halloween (1978) et une dernière pour Big Trouble in Little China (1986) avec quelques objets bonus en rapport avec chacun des films.
Extension Gangs of New York : possibilité de jouer avec un cinquième joueur qui prendra la place de l’automatisme de New York. Pour plus de combativité en mode Overlord !
Extension United States Police Force : des missions supplémentaires données par Bob Hauk pour gagner votre liberté. Vous pouvez les accepter ou trahir les forces armées. Dans ce dernier cas, il faudra trouver un moyen de retirer la charge explosive placée dans votre cou…
Escape from New York, verdict
Difficile de noter ce jeu de manière impartiale et mes notes finales en sont la preuve !
Le thème du jeu est plutôt sombre dans une ambiance de poursuite par des prisonniers n’ayant rien à perdre. Une chasse à l’homme dont on risque de ne pas sortir en vie. Il va y avoir du sang, de la sueur et des larmes.
Le système, a contrario, est enfantin et pourrait se jouer avec des enfants de 10 ans. On avance sur une case connue, on découvre une case adjacente inconnue, on tabasse tout ce qui se trouve sur notre chemin et on se sauve à toute vitesse dès qu’on tombe sur le président en essayant d’avoir les bons éléments pour arriver à s’en sortir.
Vu le système de jeu, on peut totalement l’utiliser pour le mode solo. Il est équilibré. Par contre, on couvrira moins de quartiers et on perd complètement le principe de traître potentiel. Un peu moins intéressant donc. Je conseillerais de jouer avec 2 personnages si vous tentez l’expérience. Ce sera plus intéressant.
Pour les fans du film, dont je fais partie, il y a un vrai côté madeleine de Proust à y jouer. On a toutes les références, on connaît tous les personnages, on sait ce qui risque de se passer et on est venu pour ça de toute façon. On est en terrain connu et on va en profiter même si le système ne casse pas trois pattes à un canard. L’équilibrage entre les personnages nous permet même de profiter tout en jouant les personnages secondaires. Jolie découverte !
Pour ceux qui ne connaissent pas le film, ce qui doit faire beaucoup…, on est assez rapidement dans un truc très/trop basique. Sans trop de profondeur de jeu, juste une gestion des cartes de notre main qui va un peu évoluer avec la montée de niveau. Je ne suis pas sûr que le jeu ait une longue durée de vie pour ce type de joueurs et de joueuses.
Il y a un vrai côté clivant avec ce jeu. Soyez-en conscient si vous êtes tentés de l’acheter. Il vaudrait peut-être mieux le tester une ou deux fois afin de savoir s’il est fait pour vous… ou regarder le film d’origine pour ces mêmes raisons.
Avec Escape from New York, on est également dans un jeu avec un background plutôt violent. Le vocabulaire de cet article en est un exemple clair. À éviter avec des gens qui pourraient craindre ce type de gameplay. Pour les autres, faites-vous plaisir, ça va tirer dans tous les sens !
On a aimé :
- L’ambiance qui sent bon le film d’action des années 80
- Les personnages asymétriques bien pensés
- La possibilité de trahir ses amis (ça n’a pas de prix !)
On a moins aimé :
- Des règles aussi claires que le smog de Manhattan
- Un système de jeu parfois trop simpliste
- Le manque de profondeur pour les non-fans du film
C’est plutôt pour vous si…
- Vous pouvez citer toutes les répliques du film
- Vous aimez les jeux semi-coopératifs
- Vous rêvez de porter un bandeau sur l’œil
Ce n’est plutôt pas pour vous si…
- Vous pensez que Snake Plissken est un personnage de Metal Gear
- Vous cherchez un jeu de stratégie profond
- Vous préférez les jeux 100% coopératifs
Je n’ai pas boudé mon plaisir durant les tests et c’est un jeu que je ressortirai régulièrement pour une petite partie tendue entre potes connaissant le film. Un peu redondant tout de même, la mise en place aléatoire des tuiles quartiers permet une bonne rejouabilité.
Évalutation globale pour les fans du film :
Note : 4 sur 5.Évalutation globale pour celles et ceux qui ne connaissent pas le film :
Note : 2.5 sur 5.Comme Snake le dirait : « Je déteste les jeux… sauf celui-là. »
Un dernier mot
Impossible pour moi d’abandonner le duo Carpenter/Russell sur ce second épisode mythique à l’écran mais beaucoup moins en jeu de plateau. Je me dois de conclure par une trilogie digne de ce nom.
Après avoir emprunté un collector à un pote, nous quitterons le duo avec un troisième opus tout aussi mythique que les deux précédents : Big Trouble in Little China, ou en français Les Aventures de Jack Burton dans les griffes du Mandarin. Je sens déjà l’odeur de la côte de porc…
Escape From New York chez Philibert Escape From New York chez Play-in- Date de sortie : Aout 2024
- Langue : Française
- Assemblé en : Chine
- ITHEM : 5 sur 5. Pour en savoir plus sur l’ITHEM dans les jeux de société, c’est ici.
- IGUS : 5 sur 5. Pour en savoir plus sur l’IGUS dans les jeux de société, c’est ici.
- EcoScore : E. Si vous voulez en savoir plus sur l’EcoScore dans les jeux de société, c’est ici
- Label Dé Vert : Non. Pour en savoir plus sur le label Dé Vert, c’est ici.
- Création : Kevin Wilson
- Illustrations : Elles viennent toutes du film !
- Édition : Pendragon Game Studio ( Matagot pour la VF )
- Nombre de joueurs et joueuses : 1 à 4 ( tourne mieux à 3-4 )
- Âge conseillé : Dès 14 ans ( plus pour la violence rencontrée que pour les règles )
- Durée : 45 – 90 minutes
- Thème : Anticipation – Cyberpunk
- Mécaniques principales : Semi coopératif, gestion de main, objectifs commun & secret, construction de deck. Pour en savoir plus sur les différentes mécaniques de jeux, c’est ici.
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L’article Escape from New York : Snake Plissken s’évade sur un plateau est apparu en premier sur Gus & Co.