Véronique Chable est issue d’une famille d’agriculteurs du nord de la Sarthe. « J’ai connu l’agriculture paysanne avec mon grand-père, l’agriculture intensive avec mon père et la biodynamie avec mon frère » résume-t-elle avant d’expliquer qu’elle a fait un pas de côté en devenant chercheuse. Rien de bien original ? Sauf qu’à l’époque où la plupart de ses collègues travaillaient sur des semences nouvelles, dites hybrides, Véronique a choisi de s’intéresser aux semences anciennes oubliées dans les frigos parce que jugées non rentables. Un choix à rebours de l’histoire ?

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