Pour cette première chronique, Georges Tournay plante le décor , avec cet humour wallon qui sent le vécu, les cafés du centre et les histoires qu’on se raconte entre gens du coin. Le wallon, ici, devient un outil de connivence : on sourit avant même la chute, simplement à l’écoute des mots. Georges prend alors le temps d’expliquer pourquoi ça marche : le rythme, les expressions imagées, la façon de dire plus que ce qu’on raconte. Il glisse quelques mots bien de chez nous — pour que chacun comprenne. Cette chronique inaugure un rendez-vous où l’humour wallon se transmet, se savoure et rappelle que, chez nous, rire est aussi une affaire de langage et de territoire.
Emissions