Dès qu’un enfant pleure, certains considèrent qu’il fait un caprice. Ce n’est pas compliqué : il pleure, chouine, insiste pour avoir quelque chose = « arrête tes caprices ! ».

Je ne vais pas y aller par quatre chemins, je déteste ce terme « caprice ».

Ce terme est péjoratif. Un caprice, c’est mal. Un caprice est fait par un enfant déjà trop gâté qui veut quelque chose de plus. Un caprice, c’est immature. Un caprice, c’est injustifié, toujours. Un caprice, c’est demander trop.

Comme si les enfants faisaient quelque chose de mal de façon intentionnelle. Comme s’ils voulaient vous manipuler. Comme s’ils se changeaient en diablotins et qu’ils avaient des cornes qui leur poussaient sur la tête.

Ils sont victimes eux aussi de leurs émotions et de leur désirs et donc… de leurs caprices.

Le fait est que les enfants, ne maitrisant pas leurs émotions, ont souvent des émotions extrêmes et donc des colères. Et ils demandent beaucoup de choses parce qu’ils ne se mettent pas de limite. Ils ne se disent pas « ah non, ça je ne peux pas l’avoir ». Donc quand on mixe les deux, on arrive souvent à… des caprices.

Dans cet épisode, je vous propose des solutions pour réagir de façon appropriée aux caprices et les faire disparaitre.


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