durée : 00:27:44 - La Marche de l'histoire - par : Jean Lebrun - Guizot, son confrère de l’Institut, le décrit ainsi en 1862, à la veille de la création de son ultime opéra « Les Troyens » : « Un monsieur maigre, la tête couverte de cheveux ébouriffés, l’œil perçant : c’est un sincère point bavard mais au moment où son enthousiasme le saisit, il devient alors fécond et éloquent. » - invités : Bruno Messina - Bruno MESSINA