Pour les trois premières émissions, j’ai toujours trouvé des biographies, ou même des bribes. Pour Frank Lanoux, rien. A part ce qu’il cite très rapidement dans son livre « La deuxième vie de RMC » (Ed Du Rocher), je ne trouve rien.

Ce sera donc un début d’interview sans filet, mais c’est avec une plus grande curiosité que je commence l’entretien, du coup. Où a commencé celui qui a remonté la radio monégasque ? En ce jeudi matin, il nous apporte un peu de soleil avec sa pause musicale : du Claude Nougaro. C’est parti pour 28 minutes…

Frank Lanoux a bien essayé de parler un peu dans le micro. Cela n’a duré que 2 semaines. Là où il se sent bien, c’est dans les bureaux. Et lorsqu’il fait le tour de France pour aller chercher des émetteurs pour NRJ, il se sent bien aussi. Frank Lanoux est un homme de terrain. C’est pour cela que lorsque Alain Weil, son collaborateur chez NRJ, l’appelle pour lui dire qu’il rachète RMC, Frank Lanoux plonge, littéralement, dans le projet. Développement des grilles de programmes, recherche d’animateur, il est sur tous les fronts. La réussite de RMC, c’est en grande partie grâce à lui.