Pour improviser sur le thème du conditionnement,j'ai évité de calculer quoi que ce soit sur le plan musical. Laisser venir le son, la note, la dynamique. Mais franchement si je m'étais laissé aller à la première tendance, j'aurai fait du mélo avec plein de mineur et des procédés à faire couler une larme, du moins à essayer. Mais bon, ça ne m'a pas plu et j'ai tout recommencé. La deuxième chose qui vient entre les doigts c'est quelque chose de répété, insistant, qui danse, qui martèle son idée avec régularité. Du coup, j'en conclus, que c'est la saison de verser sa larme mais que si on veut bien faire un effort ( forcément surhumain ) derrière il y a matière à tempo, à se mettre du mouvement dans les bras. Comme on doit le faire pour cueillir les prunes, les pommes ou participer aux vendanges. On peut attendre que tout tombe directement dans notre assiette mais en fait ça n’existe pas. Zut, on nous aurait menti à ce point?