Sans lui, impossible de construire le pont de Cheviré, ni les immeubles de l’île de Nantes...
Le béton s’est imposé comme matériaux de construction privilégié, car il est modulable, solide et peu cher.

Revers de la médaille, sa fabrication et son exploitation sont l’un des gros pourvoyeur de gaz à effet de serre. Plus de 5% du CO2 d’origine humaine.

Et vu que la construction n’est pas prête de s’arrêter, il était nécessaire de réfléchir à des alternatives.

Émilie Emmanuel travaille sur un nouveau matériau, le géopolymère, et elle est avec nous aujourd’hui.