Et non, Martin ne parle pas des élections américaines dans l'appel trop con d'aujourd'hui. Il a choisi de régler un dossier beaucoup plus important : la grève des courses de chevaux. Pour protester contre un projet de taxe sur les paris hippiques, demain, il n'y aura pas de courses de canasson sur les hippodromes français. Mais que les parieurs se rassurent, Martin organise à la place des courses de jockeys.