Pour cette fin de saison, j'ai reçu pour dîner l'écrivain Alfredo Noriega en pleine Fête de la Musique, et nous avons parlé de sa jeunesse andine, à Quito, de son arrivée à Paris dans les années 80 (des spectacles dans le métro à la distribution de journaux à mobylette), de sa sensation d'être un "vaurien" dans le regard des autres, de la fragilité de l'espace public en Amérique Latine, de sa quête d'une carte de Quito pour écrire ses romans, de Julian Assange, de Bruxelles, de Cardiff et des livres comme compagnons de voyages.