Pourtant, je pense comme toi. On ne peut pas connaître qui que ce soit autrement qu’en le baisant. Je ne comprends pas, d’ailleurs, que tu persistes à baiser autant de gens. J’aurais perdu espoir depuis longtemps. Les gens sont toujours décevants. Je suis certaine que tu le sais, toi aussi.

J'utilise le téléphone, dans « La Gratuite », pour créer un second contact avec Élisabeth, la nyphomane de la pure dépense.

Le texte de l'épisode, disponible sur mon blogue.