Ils m’ont accusée d’être journaliste. Ça, je pouvais pas laisser passer ça. Je leur ai dit : « Jamais de la vie! Je suis écrivaine! » La différence ne semblait pas leur importer beaucoup. Ils m’ont dit de crisser mon camp, de les laisser s’amuser en paix, qu’ils faisaient de mal à personne, que ce n’était pas de mes affaires, que je n’avais pas à les juger comme ça.

Alors que je voulais vivre mon premier gang bang dans « C'est la dégoulinade formidable », un épisode double de treize minutes, je me retrouve, plutôt, mêlée aux célébrations noctures d'étrangers.

Le texte des épisodes, disponible sur mon blogue.