Nous avons le sentiment d'être libres lorsque nous prenons des décisions. Pourtant, certains choix ne sont libres qu'en apparence. L'habitude des anti-décisions - que nous avons défini dans l'émission précédente - nous fait prendre le monde, l'autre et nous-mêmes comme des objets de caprices.
Mais le monde peut-il se réduire à un ensemble d'options à choisir ? Chaque événement que nous vivons doit-il être soumis à la dissection de nos goûts et de nos jugements ? Est-il possible d'avoir un rapport au monde, à l'autre ou à soi-même sans nécessairement chercher à y voir en permanence sa propre autorité ?