Tous les jours pendant le confinement destiné à limiter la propagation du coronavirus, le journaliste et auteur normand Philippe Bertin partage son "journal d'un confiné". Le jour 48, la normalité des uns n’est pas celle des autres. Cela s’entend. Cependant, sept semaines, c’est long. C’est long d’être confiné depuis tout ce temps. Qui peut dire, droit dans les yeux de sa caméra HD de visio-conférence, qu’il n’a pas pendant ce temps-là, un jour, fermé les yeux et rêvé d’un autre temps ? Le temps du ciné, du restaurant et d’une ballade en bord de mer avec un bon copain.Podcast by Tendance Ouest