Le journaliste et auteur normand Philippe Bertin partage avec nous les pages de son journal de confiné. Jour 38, dès les premiers jours de confinement, les animaux sauvages –ils en restent quelques-uns- de tout poil ont vite compris que l’Homme n’avait plus le droit de s’agiter fébrilement en dehors de sa cabane. Ces êtres, à poils, à plumes et à écailles, confinés depuis longtemps à l’abri des regards dans leurs terriers, buissons, nids et autres cachettes, en ont profité pour s’offrir de grandes ballades en amoureux… Walt Disney aurait beaucoup aimé voir ces animaux se payer le luxe d’une causette au milieu des rues de nos villes.Podcast by Tendance Ouest