Lorsque je vous propose des épisodes relatant des parcours de GPA, à chaque fois on constate que, même s’il est clair que ces parcours là sont très engageant, aussi bien au niveau émotionnel que financier, il n’en reste pas moins beaucoup plus efficaces que des parcours de PMA.


Les complexités sont très différentes, c’est certain, mais comme le dit Florent, lorsque vous en êtes à vous poser la question de la filiation, le plus dur est très loin derrière vous!


Florent et Benoit avaient eux aussi entendu et vécu en périphérie de parcours GPA express, alors il était évident que leur bébé serait rapidement dans leur bras.


Oui mais, même si les statistiques sont excellentes, ce n’est pas pour rien que les taux des réussites sont de 99% et non de 100%. Florent et Benoit ont été ce 1% de malchance, celui qui cumule toutes les petites lignes du contrat, et qui enchaîne les déceptions et les remises en question.


Ils auront mis presque 4 ans pour tenir leur petit Gaston dans les bras et ont même failli tout abandonné tant ce parcours était difficile. Ils ont dû changer 3 fois de femme porteuse, 3 fois d’agence, 1 fois de pays, et ont même songé à refaire des embryons pour maximiser leurs chances. Ils ont été ces cas qui n’arrivent qu’aux autres et auxquels on ne veut pas penser.


Il est à noter toutefois qu’ils avaient la chance d’être soutenus financièrement pour pouvoir poursuivre leurs essais, et qu’ainsi il n’ont pas eu à s’arrêter pour ces raisons financières, en tous cas pas jusqu’au moment où Gaston a été conçu. Mais quand on connaît le coût d’une GPA, on imagine aisément le coût cumulé de celle qu’ils ont mené.


Cet épisode a était tellement riche que nous avons décidé de vous le proposer en 2 parties. 


Je vous laisse découvrir le début de leur histoire et vous propose d’attendre la semaine prochaine pour la suite. 


Je vous souhaite une bonne écoute. 

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