Depuis 2020, deux biologistes de haut niveau demandent à l’UCLouvain de les protéger d’un environnement professionnel jugé sexiste, violent et propice au harcèlement. Alors que l’Université adapte sa politique de genre, elle a choisi dans ce cas-ci de s’opposer à ces chercheuses. Résultat : l’une est en arrêt de travail et l’autre a dû quitter l’Université. Ce double crash académique symbolise les dégâts majeurs (scientifiques et financiers) provoqués par la domination masculine en milieu académique et dans cette institution en particulier.