Médor existe depuis 2015 grâce au soutien de milliers de citoyens et citoyennes, en Belgique, qui ont cru à notre projet.
L’urgence de l’investigation. Médor défend un journalisme d’intérêt public. Depuis 2015, nous enquêtons sur tous types de sujets liés à la Belgique. Ce journalisme en profondeur nous a valu de nombreux prix et récompenses. Et au passage, quelques ennemis.
Du papier et du web. Le magazine Médor s’est lancé en 2015 sous forme de revue trimestrielle papier, avec des enquêtes, des récits, des photos et de la BD sur la Belgique. Désormais, Médor propose aussi son journalisme sur ce site internet participatif et de toute beauté.
La possibilité de devenir membre. Médor n’aurait jamais vu le jour sans le soutien de citoyens. Les abonnés du début sont devenus des « membres » à part entière, qui peuvent lire nos articles, faire remonter de l’info, nous donner des retours et contribuer à nos enquêtes. Devenez membre pour 7,50 euros par mois.
Un financement coopératif. En 2014, la coopérative à finalité sociale Médor SCRL-FS a été créée à Namur. Chaque citoyen peut acheter une part sociale pour 20 euros, contribuer au financement du projet et participer à son développement. En toute transparence. Désormais les conditions d’octroi du subside "aide à la presse" englobent les sociétés coopératives. Depuis 2020, Médor est donc soutenu par l’Aide à la presse périodique de la Fédération Wallonie Bruxelles qui garantit la parfaite indépendance éditoriale du projet et apporte un soutien financier annuel d’un peu plus de 70 000€.
Un laboratoire de pratiques innovantes. Quitte à repenser le fonctionnement d’un média, nous nous sommes lâchés : graphisme entièrement réalisé avec des logiciels libres, majorité des textes et illustrations libres de droits, rédaction en chef tournante, enquêtes participatives… Et bien plus encore.